Monochrome noir, l’œuvre s’élève comme une matière obscure où chaque lambeau de papier déchiré devient trace, souffle et vibration. L’assemblage, d’apparence austère, capte pourtant la lumière dans ses reliefs, révélant une onde secrète qui parcourt la surface.

Cette onde, fragile et persistante, rappelle que l’obscurité n’est jamais absolue : elle recèle en elle la promesse d’une clarté. Les plis, les strates et les cicatrices de papier composent un paysage intérieur, où la profondeur noire se transforme en résonance lumineuse.

Onde Immortelle témoigne de cette vérité : même au cœur des nuits les plus épaisses, une lumière demeure prête à surgir. L’œuvre ne représente pas l’absence, mais l’espérance, une pulsation invisible, immortelle, qui traverse l’ombre pour rappeler que l’espoir persiste toujours.

A monochrome black surface, the work rises from torn fragments of paper, each strip carrying a trace, a breath, a vibration. What first appears austere begins to catch the light within its reliefs, revealing a hidden wave moving across the surface.

This wave, fragile yet enduring, reminds us that darkness is never absolute: within it lies the promise of clarity. The folds, the strata, the scars of paper form an inner landscape where blackness transforms into resonance.

Immortal Wave speaks of this truth: even in the deepest night, a light remains ready to emerge. The work does not portray absence, but hope, an invisible, immortal pulse crossing through shadow to affirm that hope always endures.